Dès la fin août, les blessés, mais aussi les
réfugiés affluent.
Les établissements publics, notamment, l'école normale
et le Lycée d'Auch sont transformés en hôpitaux auxiliaires ainsi que
la préfecture (actuel Hôtel des Postes). Très vite les capacités
d'accueil sont dépassées; de nombreux blessés seront reçus dans les
familles.
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hôpital
complémentaire n°36
château de Mazères
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De même, le château de Mazères,
ancienne rési- dence des archevêques d’Auch, est transformé en hôpital
militaire.
Les réfugiés arrivent nombreux, du Nord, mais aussi de Serbie,
d'Arménie ... Face aux restrictions que commencent à subir les
Gersois, ils seront accueillis avec moins d'enthousiasme.
Par contre,
les prisonniers de guerre, venant pour travailler, auront les faveurs
des "employeurs" et seront mieux acceptés.
<< ci-contre lettre d'un
hôpital : décès d'un blessé Gersois.
Autres hôpitaux Militaires dans
le Gers ici ou bien ici
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"La République des Travailleurs"
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aussi la presse régionale (ici)
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