<<Retour La France au secours de l'AmériqueLors de la guerre d'indépendance des États-Unis contre la Grande-Bretagne.France occupé dès 39, verra en 44, nos amis d'Amérique prendre le relais, en préparant l'AMGOT Cette Guerre née de la révolution américaine est une période de changements politiques après 1763 dans les treize colonies britanniques d'Amérique du Nord qui ont donné lieu à la guerre d'indépendance des États-Unis
contre la Grande-Bretagne (1775-1783). Épisode fondateur de la nation
américaine et de la naissance des États-Unis, la révolution se
manifesta par des violences contre les autorités britanniques, une
guerre contre la métropole et des troubles sociaux. La
France s'engagea d'abord dans la guerre d'indépendance américaine par
la fourniture de matériel et d'aides en faveur des insurgés. Elle
s'engagea ensuite officiellement en 1778 (traité d'alliance
franco-américaine). L'aide française navale et terrestre et le soutien
de ses alliés contribuèrent à la victoire américaine, notamment à la bataille de Yorktown, conduite par le comte de Rochambeau et se conclut par le traité de Paris de 1783.
Ce traité reconnaît l'indépendance des États-Unis d'Amérique, qui avait
été déclarée le 4 juillet 1776 par le Congrès continental. Plus de 70
000 loyalistes durent quitter le pays après la guerre : la plupart
partit au Canada, en Grande-Bretagne ou dans les colonies britanniques
des Caraïbes. (textes in Wikipédia et illustrations cliquez-ici et ici vidéo. ou encore ICI
Sites à consulter : Ministère de la Défense ici extrait ci-après : "En
septembre 1781, suite aux recommandations de Rochambeau, les troupes
franco-américaines se dirigent vers Yorktown où s’est retranché le
général en chef anglais, Lord Cornwallis,
et ses hommes. Rejoints par les volontaires américains de La Fayette,
les forces franco-américaines débutent le siège de Yorktown le 28
septembre. La ville tombe le 19 octobre. Placé sous le commandement de
Washington, Rochambeau est dans les faits largement à la manœuvre. Les
soldats français s’illustrent pendant cette bataille par leur
professionnalisme et leur connaissance de la poliorcétique.
Les Anglais ne s’y trompent pas. Cornwallis envoie un de ses généraux
remettre son épée au vainqueur en signe de réédition. Lorsque le
général anglais se retrouve face à Rochambeau et Washington, il tend
l’épée… au Français qui la refuse et désigne son homologue américain
pour recevoir cet honneur. Plus discret que le fougueux La Fayette,
impliqué dans le conflit depuis ses débuts, Rochambeau a néanmoins joué
un rôle stratégique dans la victoire américaine. Tout comme La Fayette,
Rochambeau a une statue à son effigie à Washington, en face de la
Maison Blanche, qui se trouve dans le parc… La Fayette."
Un autre site à consulter : "la Société des Cincinnati de France" qui a pour objet de perpétuer le souvenir des circonstances qui ont abouti à l'indépendance des Etats-Unis et de la fraternité d'armes qui unit officiers américains et français au cours des combats qu'ils menèrent ensemble.
Quelques extraits de présentation du livre ( cf. site ICI) Le document découvert est un dossier précisant la distribution par
navire des officiers de l’armée de Rochambeau, transportés par l’escadre
et le convoi de Ternay pour renforcer en 1780 les combattants
américains, sous le nom « d’expédition particulière». (*) parmi les officiers on a Lestrade ICI voir aussi archives ICI Balance des forces terrestres (infanterie et cavalerie)
* 1.000 officiers et plus de 10.000 soldats français, (volontaires et troupes réglées), combattirent sur le continent nord-américain. 2.113 y perdirent la vie. [A ce chiffre, il convient d’ajouter celui des pertes de la Marine royale, tant au combat que lors des différentes « campagnes », qui s’élèverait au 1/6 ° des effectifs engagés et donc au minimum à plus de 5.000 hommes (NdR). Des illustrations ICI Remarques en lien avec l'histoire récente de nos deux pays : on pouvait espérer que nos amis d'Amérique devaient être à nos côté dès la rentrée en guerre avec l'Allemagne, en 1939. C'est seulement en 1944, lors du repli Allemand en Russie, qu'un premier débarquement de troupes US, puis un deuxième en Provence avec des troupes alliées qui provoque la retraite des armées Allemandes Sud de la France pour protéger leur pays menacé par les Russes. Cela conduit notamment à considérer que villes et villages abandonnés par les Allemands sont libérés par nos amis Américains. Ainsi, depuis une dizaine années, des plaques "libératrices" ou "commémoratrices" jalonnent le parcours des troupes Alliées qui rarement associent nos "moins fringants" Résistants, trop souvent oubliés dans l'accompagnement des vainqueurs favorables à l'AMGOT. |